Jean Louis & Michèle... autour du monde

Globes trotteurs... fil d'un mois et demi au Cambodge et au Vietnam

mercredi 22 septembre 2010

photo Moscou




CHAPITRE 2



Très vite familiarisé avec le cyrillique, nous partons le soir même en métro tester les spécialités russe chez MY MY (meuh –meuh , la vache),un self service bon et raisonnable.


Dés le lendemain nous voila au centre de Moscou. La découverte de la ville débute par la visite incontournable du KREMLIN, assisté de notre guide …. non ce n était pas Nathalie, mais Helena pertinente et sympathique, qui nous a fait apprécier les trésors du KREMELIN et dieux sait qu’il y en a. La chanson de Bécaud m’a trottée dans la tête toute la journée.

Jai été aussi intéressé par la découverte de la structure des églises orthodoxes qu’elle nous a bien détaillée. Le pope officie isolé des fidèles dans un cœur séparé par l’iconostase, les fidèles sont debout, le pope rejoint les fidèles que de cours instants par une petite porte au milieu de la partie basse de l’iconostase.

L’iconostase comporte 5 niveaux d’ icones, en bas, les saints locaux, à gauche la vierge et les autres saintes, à gauche le Christ le saint patron de la paroisse et les autres saints. Au dessus le déésis, le jugement dernier avec le Christ assisté de la vierge Marie pour les femmes, à droite st. Jean pour les hommes, au niveau supérieur les Fêtes (religieuses), au dessus les prophètes et au dernier niveau les patriarches.

Les icones sont splendides dans les trois églises du Kremlin, le musée Tetrakiow en recèle de splendides exemplaires venant de différentes villes.

La place rouge n’a pas perdu de sa fraicheur, quand à l’église de Basile le bien heureux, je n’ai pas l’impression que la photo puisse rendre compte de ses dômes flamboyants et torsadés, tous exubérants.

.

C’est ce qui se passe à l’intérieur qui fait la renommée du Bolchoï, mais pas l’extérieur qui est tout à fait banal. Les rues environnantes regorgent de Rolls Roy de Lexus et de modèles de 4X4 plus impressionnants les un que les autres. Il faut aussi que je mentionne l’épicerie ELYSEEVSKII très connue qui regorge de produits de luxe.

Moscou ne m’a pas spécialement séduit, un seul regret c’est de ne pas avoir pris un verre au café Pouchkine.

Moscou est une ville chère aux hôtels inconfortables. Pour 80 € on à eu en haut d une cage d’escalier qui puait une chambre avec WC et salle de bain à l’extérieur et un bruit de circulation infernal toute la nuit, qui nous donnait envie de rejoindre le doux tagada des trois nuits à passer dans le train.

J’oubliais :

Dans notre merveilleux hôtel, pour fermer les rideaux Marie Claude a du monter sur son lit pour y accéder et les tirer, elle est montée sur son super matelas à ressorts qu’elle a pris pour un trampoline, déséquilibrée, elle s’est raccrochée aux rideaux. La tringle s’est cassée, on l’a retrouvée la tringle sur la tête enveloppée dans l’étoffe.

(J’exagère elle s’est dégagée toute seule).

le metro


arrivee

Le grand périple en empruntant

le transsibérien

Du 16 aout au 28 octobre nous irons de Paris à Shanghai.

-un premier saut en avion nous amènera à Moscou

-le 20 aout le transsibérien nous projettera à 5200 km. En 3 jours et 4 nuits jusqu’à Irkoutsk

- encore 2 nuits et un Jour pour rejoindre en train la Mongolie, pour un périple en bivouac jusqu’ aux confins de l’Altaï. Soit un parcours de 3400 km.

-encore un saut en train pour traverser la grande muraille et effectuer un grand tour d’un mois pour terminer dans les environs de Shanghai le 28 Octobre.

Michèle, Jean Louis , et Marie-Claude notre compagne de voyage, toujours à la recherche d’un jardinier.

MOSCOU

Il y a dans le monde des lieux qui nous font toujours rêver . Des lieux mythiques :

- marcher sur les glaciers de Patagonie

- parcourir la Chine en solitaire

- respirer les mystères de l’ile de Pâques

- traverser l’Asie en transsibérien.

Au jour d’hui c est ce dernier rêve que nous réalisons. Avec quelques coins d’ombre au départ à cause des feux qui ravageaient le sud-ouest de la RUSSIE. Ces feux nous ont terni la joie du départ.

La canicule, les fumées toxiques rendaient Moscou irrespirable assombrissaient le ciel de la ville depuis fin juillet et début Aout, les flammes s’approchaient de la centrale de retraitement nucléaire de SAROV ,à 200km de là et des zones contaminées de TCHERNOBYL étaient menacées . Quelques jours avant notre départ les feux régressaient. Si en survolant la capitale, la grisaille voilait encore Moscou, le lendemain la température ne dépassait plus les 33 degrés et la visibilité était de 3 KM.

…. Nous pourrions visiter MOSCOU sans crainte

mise a jour du 22/09/10


mercredi 8 septembre 2010

MOSCOU

Mes femmes a MOSCOU

PHOTOS


Nouvel essais pour envoyer des photos deMOSCOU


lLES POPOVS

Les POPOVS

Pas marrants les popovs, pas souriants. Les années de communisme ont laissé des traces. Fermés comme des huitres, qu’ils sont .
Est-ce vrais ?
Un allemand qui connait le pays depuis longtemps nous disait qu’ils étaient curieux de l’occident, et souriants il y a 20 30 ans ; Marie Claude qui avait fait un voyage à cette époque, nous disait que les femmes réclamaient des bas nylons, et que le GOUM le grand magasin en face du mausolée de LENINE était vide de marchandises.
Depuis il y a eu la pérestroïka et les années Poutine ou les russes ont évolué et le niveau de vie a augmenté (pour certains beaucoup). Depuis 2008 la crise économique les a pris de plein fouet et le pouvoir d’achat a bien baissé. Ils font grise mine et considèrent les occidentaux comme des privilégiés, qui ont un bon pouvoir d’achat….. Nous aussi on trouve que la vie est chère
Quelle est la vérité de tout ça ? Difficile à savoir, ce qui est certain c’est qu’ils ne respirent pas la joie.
Ne nous limitons pas à ces considérations et regardons la rue. Les femmes en général sont bien habillées, quand aux jeunes c’est une pépinière de top-modèles, élancées, élégantes d’où sortent-elles ? Juchées sur des souliers à talons démesurés d’où partent des jambes qui n’en finissent pas, arrêtées au raz de l’horizon par une tenue qui ne réclame pas beaucoup de tissus.
Le GOUM aujourd’hui rivalise avec ses concurrents de Paris, tous les magasins de luxe sont là, mémé si ce n est pas la foule des Galeries Lafayette.

Point séduit par la ville nous seront ce soir d’embarquer pour le grand Est.
Il est temps de saluer Lénine

mardi 7 septembre 2010

DES IMAGES DE MOSCOU

Le metro
L eglise de basile le bien heureux

LES POPOVS

LENINE est toujours present